Naissance | |
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Décès | Oued Soufflat (d) |
Pseudonyme |
Cheikh Mohand Mokrani ou Cheikh El-Mokrani |
Activité |
Notable et chef de révolte |
Père |
Ahmed El-Mokrani |
Fratrie | |
Statut |
Mourabitoune (d) |
Religion | |
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Ordre religieux |
Islam |
Conflit |
Cheikh El Mokrani, de son nom complet Mohammed el-Hadj el-Mokrani[1] ou Mohammed Ben Hadj Ahmed El Mokrani[2],[3] (en kabyle : Lḥaǧ Muḥend At-Meqqran, ⵍⵃⴰⴵ ⵎⵓⵃⴰⵏⴷ ⵏ ⵃⵎⴷ ⵏ ⴰⵜ ⵎⵇⵕⴰⵏ ; en arabe : Cheikh Mohammed El Mokrani, الشيخ محمد المقراني )[4], né en 1815 à Aït Abbas (Kabylie) et mort en 1871 à Oued Souflat; près de Bouira (Kabylie), était un notable dont le père, Cheikh Ahmed El-Mokrani était calife de la région de Medjana sur les hauts plateaux[5] algériens. Il joua un rôle actif dans la révolte kabyle de 1871 avec Cheikh Ameziane El-Haddad, chef de la confrérie des Rahmania, son frère Bou-Mezrag El-Mokrani et son cousin El Hadj Bouzid. Issu d'une famille de haut rang, il est un chef fier et meurt au combat en 1871 tué d'une balle en plein front.